Membre de la tribu Huli en Indonésie et Papouasie Nouvelle Guinée
Réfugiés climatiques, exploitation industrielle ou agricole de leurs terres, certaines de ces civilisation sont en train de s’éteindre, à petit feu.
"Before they pass away"... avant qu'ils ne se disparaissent est le titre que le photographe britannique Jimmy Nelson a donné à un projet colossal : immortaliser les dernières tribus indigènes que compte la planète. De l'Éthiopie à la Tanzanie, en passant par l'Inde, la Mongolie ou encore la Sibérie, il est parti à la rencontre de 55 tribus.
"Les richesses du monde moderne gagnent les pays non développés et, selon moi, il faudrait trouver un équilibre entre ces deux extrêmes. Je veux faire prendre conscience à ces tribus du fait qu'elles sont déjà riches, qu'elles possèdent quelque chose que l'argent ne peut pas acheter. Je souhaite par-dessus tout attirer l'attention sur ces peuples en faisant ressortir leur grande beauté."
Tribu Huli d’Indonésie et de Papouasie Nouvelle Guinée
"Ce qui est intéressant au sujet de ces peuples, mis à part les différences qui les séparent en termes de lieu de vie, d'histoire et de coutumes, c'est leur manière de vivre en parfait équilibre avec leur environnement jusqu'à atteindre l'harmonie qui fait rêver tout l'Occident. " (Jimmy Nelson)
Les Gorokas d’Indonésie et de Papouasie Nouvelle Guinée
Kui oriental, Mont Hagen, Papouasie Nouvelle-Guinée
Mis à part le Brésil, l’île est l’endroit du monde où se trouve le plus grand nombre de populations non contactées.
LES TRIBUS DE PAPOUASIE
Mis à part le Brésil, l’île est l’endroit du monde où se trouve le plus grand nombre de populations non contactées.
Au total, les indigènes se répartissent en 312 ethnies environ.
Les Papous occidentaux ont grandement souffert de la violente occupation indonésienne depuis 1963.
L’armée indonésienne s’est rendue coupable de nombreuses violations des droits de l’homme, les militaires, racistes, considérant généralement les indigènes à peine plus que des animaux.
Les ressources naturelles du pays ont été exploitées pour le plus grand profit du gouvernement indonésien et des milieux d’affaires étrangers mais aux dépens des Papous et de leurs terres.
La présence de l’armée engendra immanquablement les violations des droits de l’homme tels que meurtres, arrestations arbitraires, viols et torture.
Les Papous qui s’opposent au gouvernement indonésien, aux militaires ou aux ‘projets vitaux’ sont encore plus exposés à ces violations.
Les Gorokas d’Indonésie et de Papouasie Nouvelle Guinée
Kalam - Nouvelle Guinée
Kalam - Nouvelle Guinée
Les Mursis d'Ethiopie
Les Mursis d'Ethiopie
Femme Mursi
Maori néo-zélandais
Maori
Maori
Asaro - Papouasie-Nouvelle-Guinée
Asaro Mudmen - Papouasie-Nouvelle-Guinée
La tribu des Dani - Papouasie-Nouvelle-Guinée
La tribu des Dani - Papouasie-Nouvelle-Guinée
Les Kazakhs
Tribu Kazakh, Mongolie
Tsaatan - Mongolie
Chukchi - Sibérie
Aujourd’hui les plus gros problèmes sont ceux posés par la dégradation de l’environnement causée par l’exploitation du pétrole, du gaz naturel, des industries du bois et par l’opacité qui entoure la question des droits sur la terre.
Chukchi - Sibérie
Mustang - Nepal
Rabari - Inde
Rabari - Inde
La tribu Ladakhi du Nord de l’Inde